Churrasquinhos de poulet façon Brésil / Ducros & les 125 ans du groupe McCormick/ Concours “La Saveur d’Etre Ensemble”

churrasquinhos poulet mnt

Edit 25 juin : le choix a été plus que difficile … toutes vos histoires de saveurs m’ont touchées, toutes sont de superbes souvenirs ! la gagnante de ce concours est … Stéph une graine d’idée ! tu remportes donc une sélection d’épices, le livre de recettes des 50 ans de Ducros et le coffret pour un dîner gastronomique d’exception pour 2 pour des tables étoilées !

En 2014, le groupe McCormick (dont Ducros fait partie depuis 2000) fête ses 125 ans avec le lancement de l’édition 2014 du Carnet de Saveurs (Le Carnet de Saveurs est un rapport élaboré chaque année par les experts Ducros et McCormick du monde entier. Il met en évidence les cinq principales tendances culinaires et plus d’une douzaine de saveurs nouvelles qui auront une influence sur la façon dont nous mangerons dans les années à venir) et le programme « Flavor of Together / La Saveur d’Être Ensemble » dont le but est de relier les personnes à travers le monde en leur proposant de partager 1,25 million d’histoires de saveurs. Ce programme durera toute l’année en célébrant les saveurs qui nous rassemblent & en demandant aux consommateurs du monde entier de partager leur histoires de saveurs afin d’aider à nourrir ceux qui en ont besoin. En France, pour chaque histoire partagée, Ducros et McCormick feront un don de 1 dollar au Secours Populaire.

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Ainsi je vous propose un petit jeu très sympathique :

A partir d’aujourd’hui et jusqu’au 16 juin minuit, laissez-moi en bas de ce billet un commentaire où vous me raconterez votre histoire de saveurs la plus marquante, la plus émouvante, celle-ci dont le souvenir est le plus intense ! A vos plumes, à vos mots et plongez-moi dans votre expérience de saveurs la plus chargée d’émotions ! N’hésitez pas à m’écrire même plusieurs de vos souvenirs si vous en avez pleins !

Chaque commentaire sera comptabilisé par Ducros afin de reverser un maximum de fonds au Secours populaire via United Way Worldwide.

Je sélectionnerais le commentaire qui m’aura le plus touchée ^_^ n’ayez crainte je suis loin d’être un coeur de pierre !

 Le gagnant remportera :

– Une sélection d’épices

– Le livre de recettes des 50 ans de Ducros

– Un coffret pour un dîner gastronomique d’exception pour 2 pour des tables étoilées

Place à la recette !


  Brasiiil !!! La la la la la la la laaaa …

La cuisine brésilienne est une cuisine cosmopolite et colorée, teintée par les diverses origines de ses habitants. Toujours très goûteuse et indéniablement (beaucoup trop) appétissante 🙂

C’est aussi le pays des carnivores et même si j’essaye dans ma vie quotidienne d’aller vers plus de flexitarisme, j’adore déguster une belle pièce de viande, un tartare, un carpaccio, un os à moelle cuit au four …

J’ai eu pour défi d’interpréter une des cinq tendances du carnet de saveur 2014, et peut-être (ou pas) avec la Coupe du Monde (de football) qui approche, la cuisine brésilienne m’a fait de grands signes !

Churrasquinhos épicés de poulet façon Brésil

pour 4 personnes

  • 2 cuisses de poulets (si vous le pouvez, déjà désossées par votre boucher)

  • 4 cuillères à soupe d’huile neutre, type pépin de raisins ou arachide

  • Huile pour friture

  • Une grosse banane plantain

  • 200 g d’haricots secs rouges (ou noirs, comme les haricots brésiliens, si vous trouvez !)

  • 150 g de riz blanc

  • 1 cuillère à soupe d’origan Ducros

  • 1 cuillère à soupe de persil Ducros

  • Sel et poivre

  • Bouquet garni (laurier,sauge,sarriette,thym)

Un mélange brésilien “tempero baiano” :

Epices tempero baiano

La veille : Faites trempez les haricots rouges dans un grand saladier d’eau froide.

Le lendemain : rincez les haricots rouges et déposez les dans un faitout. Ajoutez un bouquet garni (laurier,sauge,sarriette,thym), une belle pincée de sel et recouvrir d’eau froide. Faites cuire 45 mn à feu moyen jusqu’à ce que les haricots soient cuits à coeur.

Ôter la peau des cuisses de poulet et les désosser en longeant l’os du côté plat. Puis coupez la viande en gros morceaux. Les déposer dans un plat.

Assemblez le “tempero baiano” dans un bol puis répartir sur les morceaux de poulet & ajouter l’huile. Bien enrober puis réserver pendant au moins une demie-heure.

Tempero baiano

Préparer le riz : faites chauffer une casserole d’eau. A ébullition ajouter une belle pincée de sel, l’origan et le persil puis le riz et faites cuire jusqu’à ce que les grains soient tendres.

Déposez les haricots dans un saladier avec quelques louches d’eau de cuisson et écrasez au presse-purée jusqu’à obtention d’une purée avec morceaux. Réserver.

Epluchez la bananes et coupez-là en tranches en biseau. Salez légèrement et poivrez puis faire frire dans une poêle avec 1 à 2 cm d’huile chaude, elles doivent être dorées sur les deux faces. Egouttez sur du papier absorbant.

Montez les morceaux de viande sur des pics à brochettes et les faire griller dans une poêle sur feu moyen, ou sur un grill ou encore mieux sur le barbecue. 2 à 3 minutes par côté.

Assemblez les assiettes : une à deux brochettes, du riz,de la purée de haricots rouges et des tranches de banane plantain frites.

Bon appétit !

Churrasquinhos poulet' mnt

 

18 commentaires

  • Bonjour et merci pour cette sublime recette.
    Je me souviendrai toujours du couscous de ma grand mère. On le partageait en famille, tous collés les uns aux autres, serrés dans sa petit salle à manger. Il avait son plat spécial, car pour une famille de 10 enfants on ne peux pas faire une petite portion. Je le reconnaitrais aujourd’hui encore si je le sentais. Une auteur chaude et piquante à la fois qui me donnais une sensation de sécurité. Je savais que j’allais passer une journée en famille sans aucun tracas. Malheureusement je n’y aurais plus jamais droit, mais j’ai toujours la recette et je compte bien continuer la tradition des couscous de famille 🙂
    Belle journée.

  • bonsoir

    j’ai de beaux souvenirs d’un gâteau à la pomme de terre et aux raisins dont j’ignore toujours le nom à ce jour fait par ma grand mère portugaise, elle prenait tellement de plaisir à nous le préparer et à nous le servir par la suite que c’est resté dans ma mémoire comme un moment riche en émotions
    je me souviens d’autres plats portugais qu’elle nous préparait régulièrement mais je suis incapable de dire leurs noms: que ce soit sa spécialité à base de riz et de tomates, une merveille (je n’ai jamais mangé du riz aussi bon ailleurs)ou sa façon particulière de cuisiner les sardines et le poisson en général..
    elle avait une telle nostalgie de son pays, surtout en hiver, qu’elle nous l’a fait découvrir par les moyens qu’elle avait à ce moment là..et la cuisine en faisait certainement partie..jamais je ne pourrai oublier ces moments de mon enfance
    mon mail est: gaut.geraldine(at)orange.fr
    merci et bonne soirée

  • Super recette et sympathique concours !!!
    Ca compte si j’ai déjà participé chez Nadia Paprikas ? Bon allez je retente ma chance dans ta cuisine car j’adore ta recette.
    Moi mon meilleurs souvenirs c’est celui de la saveur des crêpes que faisait ma grand mère. Quand nous étions petits avec mes cousins et cousines elle nous faisait des montagnes de crêpes divinement parfumées au rhum et au sucre vanillé et nous faisait rire en nous apprenant à valser dans la cuisine ou en nous racontant ses souvenirs de jeunesse !!!

  • Je tente ma chance sous cette très belle recette et puis c’est pour la bonne cause!! 🙂
    Cuisine et sentiments, ça me renvoie immédiatement au repas familiale du réveillon de Noel quand j’étais toute gamine – ma marraine préparait la grande bûche pâtissière au chocolat et aux noisettes qui régalait toute la famille – je me rappelle que juste avant de la servir toutes les deux au reste de la famille, elle me faisait un ptit signe pour aller en cuisine et me garder le privilège d’en avoir une petite part avant tout le monde – je faisais la critique culinaire en lui disant si j’approuvais ou non sa recette et bien évidemment elle était toujours excellente – c’était un moment que l’on partageait à deux, alors qu’on ne se voyait pas souvent, et le Noel de mes 12 ans elle m’a légué sa recette que je garde précieusement – c’est la bûche de Tatie Jeanne Marie, un héritage très précieux.
    Pour etre encore plus appréciées, les recettes doivent être partagées, la cuisine est source de convivialité et de partage que ça soit en famille, ou meme sur des interfaces virtuelles, elle a le don de rapprocher le gens 🙂

  • Il y a 34 ans, un ptit gars de 4 ans découvrait les joies de la cuisine grâce à sa mamy, ce petit gars c’était moi..
    Assis sur la table de la cuisine, j’assistais à la préparation de la plus formidable recette au monde, le cake!

    Très attentif durant toute la recette, il y avait pourtant 3 moments clés: me régaler avec les restes de la pâte crue, regarder la pâtisserie gonfler et dorer et enfin, pouvoir déguster le résultat à peine tiède avec du “bon” beurre.

    Ce cake est à l’origine d’une véritable passion pour les produits de qualité, devenue métier par la suite et, même en tant que cuisinier ce cake restera le meilleur de toute la planète.

    “Mamy” n’est plus là mais son souvenir est présent chaque jour, à chaque fois que j’enfile un tablier, je me revois à ses côtés surveillant la précision de ses gestes.

    Plus de 30 ans après et heureux papa, je rentre à la maison et, dès l’arrivée dans le couloir, je le reconnais à l’odeur, le mélange, j’en ai déjà presque le goût en bouche, il y a un cake qui cuit..Ma chère et tendre l’a préparé pour notre fille et sa réaction ne se fait pas attendre dès le premier morceau dégusté: “maman tu es la meilleure cuisinière du monde”.

    Ma femme avait donc trouvé cet ingrédient secret qui transforme une recette toute simple en dessert merveilleux: L’amour..

  • je me souviens du premier repas chez ma copine Marocaine j’avais six ans, soixante dix aujourd’hui je n’avais jamais manger de couscous car d’origine Polonaise je mangerais beaucoup de pommes de terre de plus jamais non plus de la facon dont il etait servi dans un grand plat et sans couteau ni fourchette la maman nous a invite a nous assoir autour et a nous servir elle nous a montrer comment rouler des petites boulettes dans la paume de la main et de les manger puis nous a donner les legumes et des sucisses au piment (merguez) j’ai recrache et me suis enfuie a la maison en pleurant car ma bouche etait en feu ma maman m’a fait boire de l’eau et m’a prie d’aller faire des excuses a la dame qui m’avait si gentillement invite a sa table , enfin au sol j’ai recommence plus tard l’exploit de manger des merguez mais c’est quand des annees plus tard j’ai fais du couscous moi-meme

  • En ce qui me concerne mon histoire de saveurs la plus marquante et la plus émouvante c’est peut-être les feuilles de vigne préparées en famille il y a peu. J’en ai fait un article, un hommage à la cuisine et à la générosité de ma belle – mère. L’occasion de tous se réunir autour d’une table pour préparer une centaine de feuilles de vigne à la grecque, selon les origines de ma belle famille. Un bon et beau moment de partage, de transmission et de saveurs à la dégustation le lendemain. Entre le cumin et le poivre qui vient relever le tout : un bonheur ^^

  • Bonjour,

    Il y en a des saveurs qui m’ont marquée, mais si je dois choisir la plus émouvante, je dirai que c’est une histoire de crêpes 🙂

    Quand j’étais petite, ma mère nous préparait, rien que pour nous deux, une montagne de crêpes, avec 12 œufs et 600g de farine, pour te dire… Et nous en mangions pendant 3 repas. C’était pour moi les meilleures du monde et j’étais très critique face aux autres recettes et autres façons de les manger (genre 3 par personne, pour moi c’était une honte! Les crêpes devaient être un moment de gourmandise et d’abondance!)

    Puis j’ai rencontré mon premier chéri, et lorsque je suis rentrée de ma première nuit de garde, j’ai eu la surprise de retrouver dans l’appartement un chemin de cœurs qui menaient à la table du salon, sur laquelle trônait une assiette de crêpes dont la première était taillée en lettres dessinant un ‘je t’aime”. Ces crêpes, faites au pifomètre, égalaient au moins celles de ma mère, et j’ai encore les larmes aux yeux en évoquant ce souvenir si doux …

  • Et si je peux me permettre d’évoquer une autre saveur, très différente mais qui me touche à chaque fois : ce sont les tomates de mon papa…

    C’est un pur “campagnard” et quand je vais chez lui, j’adore m’immerger dans son mode de vie si différent de mon quotidien. Et le moment que je préfère, c’est quand, juste avant le repas, je pars dans son petit potager en lisière d’un champ, munie d’un sécateur sans âge, et que je choisis ma tomate cœur de bœuf, énorme, tiédie par le soleil, à la saveur sans pareille…

    De mon papi (qui cultive presque tous les fruits imaginables) et mon papa, je garde l’amour infini et la fierté qu’on ressent lorsqu’on déguste ce qui a été cultivé de nos propres mains (encore que, je ne suis pas sûre que je serais aussi émue si c’était mes cultures…Donc on va dire que c’est encore meilleur quand c’est fait par ceux qu’on aime et qui nous aiment :))

  • Pour ma part un de mes meilleurs souvenirs ce sont les noix de St Jaques que prépare ma grand-mère pour Noël. Car comme tous les ans on fête Noël le 26 décembre chez mes grands parents paternel, et on y retrouve toute la famille… Elle en préparait un grand plat avec une sauce délicieuse, j’attends tous les ans ce 26 décembre! Malheureusement il manquera quelqu’un à la table le prochain 26, mon grand père qui nous a quitté il y a un mois… Alors profitez des bons moments en famille car on ne sait jamais ce que la vie nous réserve!!!

  • Très sympa cette recette, elle donne envie 🙂

    pour la petite histoire,
    il y a de ça une quinzaine d’année, .. j’étais à peine levée que j’ai senti les bonnes odeurs dans la maison.
    J’arrivais en cuisine, avec les narines rempli de l’odeur environnante, pour féliciter ma tite maman chérie pour le bon plat qu’elle allait nous allait nous cuisiner …. Et là grosse surprise !!

    Mon frère, en apprentissage à l’époque, nous avait fait la surprise de rentrer d’Allemagne pour l’anniversaire de mon second frère. Maman était bien sur au courant, mais moi non (et mon second frère non plus !)

    J’ai sauté de joie évidemment !! Et je me suis dépêchée de me préparer pour filer en cuisine à ses côtés et tenter de partager ce bon moment tous les deux. On a préparé en entrée un délicieux gratin de langoustines que je refais encore aujourd’hui … Puis on a continué sur un délicieux carré de porc farci, accompagné de quelques pommes de terre grenailles et avec plusieurs sauces … dont une onctueuse et crémeuse (et bien grasse ^^) à base de concentré de tomates et de jus de cuisson du carré de porc dont je me souviens encore avoir saucé mon assiette avec les petits pains frais fait maison également. On a enchaîné sur un délicieux desserts aux fruits (dont je ne me souviens plus vraiment du nom) .. et pour finir après un petit digestif, l’heure du goûter était annoncé avec une salade de fruits frais mariné aux vins. Tant de créativité et de partage que j’ai gardé en mémoire avec lui 🙂

    C’est ce jour là que ma passion pour la cuisine à commencé, et depuis ce jour, dès que mon frère vient nous voir, je cuisine à ses côtés. J’ai beaucoup appris de lui, de ses techniques et de sa créativité. Aujourd’hui j’ai un grand frère cuisinier de métier qui a ouvert son propre restaurant à l’autre bout du monde, en Australie. Je ne le vois malheureusement plus beaucoup .. Mais nos retrouvailles sont à l’identiques… On se retrouve aux fourneaux et on partage ensemble !

    Merci pour ce concours, et merci de m’avoir fait me souvenir de ces bons moments 🙂

  • Il y a beaucoup de recettes qui m’ont marquée mais je crois que la plupart sont liées à la famille et surtout à ma grand-mère. Son pain perdu préparé pour le goûter reste pour moi un souvenir impérissable. J’adorais la voir en préparer et le manger avec elle au coin du feu en m’en mettant plein les doigts.
    Sinon ma famille avait une ferme et la poule farcie, était un plat rare t goûteux que j’adorais. Mon arrière-grand-mère m’en a préparé une un jour que j’allais lui rendre visite alors qu’elle approchait des 100 ans, ça reste un de mes meilleurs souvenirs de cuisine.

  • Coucou, je tente ma chance, on ne sait jamais… Quand j’étais en primaire, on rentrait de l’école à pied avec mes soeurs et mon frère (car ma mère devait s’occuper de la cuisine, on était 6 dans la famille). Ce jour-là, il pleuvait des cordes et malheureusement on n’avait ni parapluie ni imperméable, pas de bol! J’étais trempée jusqu’aux os et mes ballerines étaient remplies de flotte, j’avais qu’une hâte, rentrer à la maison bien au chaud. A peine passé le seuil de la porte, je reconnais une odeur familière et j’entends la voix de ma mère qui crie depuis la cuisine “Allez vous sécher avant que Papa arrive, j’ai fait des frites!” En quelques secondes j’avais oublié le froid et la pluie, et j’étais la plus heureuse des petites filles devant ces bonnes grosses frites maison coupées au couteau. J’adorais le bruit que ça faisait quand elle les saupoudrait de sel et les secouait vivement dans la passoire en métal. C’était rare qu’elle en faisait car ça demande du temps les frites, alors on les appréciait encore plus, en les dévorant avec les doigts. A peine avait-on fini la première fournée qu’elle revenait de la cuisine avec encore plus de frites, pour notre plus grande joie! On sentait tous le graillon à la fin mais qu’est-ce qu’on était heureux ^^

  • C’est une fort jolie idée et je participe avec plaisir avec l’espoir que le secours populaire en bénéficie et plus si affinités 🙂
    Alors voilà avec mon chéri nous étions mariés depuis quelques mois. A l’époque ma passion pour la cuisine était déjà déclarée celle de mon mari pas du tout. Son plat fétiche du vendredi soir était cacahuètes grillées salées et coca et en semaine le steak pâtes beurre et râpé. Mon anniversaire approche et là surprise pour le dîner il m’avait préparé un curry japonais. Il suivait des cours d’anglais et avait sympathisé avec un femme originaire du Japon qui a eu la gentillesse non seulement de lui transmettre la recette familiale mais aussi de le conseiller sur la sélection des produits et les astuces de préparation. Outre le plaisir d’avoir un repas préparé par mon homme c’était tout bonnement délicieux. Un mélange de saveurs et d’épices juste fabuleux. J’adore ce plat que j’ai découvert ce soir là. L’un des ingrédients le curry japonais est une pâte très épicée. La version que j’ai goûtée étant traditionnelle elle était aussi très hot. Pas de brûlure rien de désagréable comme cela peut arriver avec la wasabi mais un chaleur progressive vous envahit et vous donne l’impression d’avoir soudain emménagé dans un sauna …. Bref une excellente soirée à tous points de vue. Une fabuleuse découverte culinaire. C’est resté notre plat fétiche que je lui demande régulièrement.

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